Liste des 615 blagues sur le thème "Divers"


pdf #61Divers

14 notes : 4.00 / 5

Un client s'adresse à mi-voix au pharmacien :
- Vous n'auriez pas cette fameuse pilule bleue pour les performances sexuelles ?
- Ah, du Viagra ? Bien sûr que nous en avons.
Le client achète un comprimé. Servi, il fouille dans ses poches et s'exclame :
- Zut, j'ai laissé mon porte-monnaie chez le boucher.
- Vous paierez plus tard. Ce n'est pas un problème.

Le client sort, va chez le boucher quelques mètres plus loin et demande un bon gigot de mouton. Au moment de payer, il fouille dans ses poches et s'exclame :
- Zut, j'ai laissé mon porte-feuille chez le pharmacien.
- Ça ne fait rien. Vous paierez à votre retour.

Le client sort avec sa viande, va chez le marchand de fruits quelques mètres plus loin et achète quelqques fruits exotiques. Au moment de payer, il fouille à nouveau dans ses poches et s'exclame :
- Zut, j'ai tout laissé chez le boucher...

Quelques heures plus tard, le pharmacien, le boucher et le marchand de fruits se retrouvent nez à nez, attendant le fameux client. Rien, disparu.
Un nouveau client s'adresse alors au pharmacien :
- Vous n'auriez pas des comprimés bleus ?
- Oui, bien sûr !
- Dites-moi. C'est vrai qu'ils sont efficaces ?
- Efficaces ? Bien sûr qu'ils le sont. Il y a un moment, avec un seul comprimé, un bonhomme nous a baisés à trois en même temps : le boucher, le marchand de fruits et moi.

pdf #62Divers

24 notes : 4.00 / 5

Un homme roule à vive allure dans une belle voiture rouge. Soudain, un motard lui fait signe de s'arrêter :
- Bonjour Monsieur : Gendarmerie nationale. Saviez-vous à quelle vitesse vous rouliez ?
- Excusez-moi, monsieur l'agent, mais je suis pressé. Je vais à mon travail.
- Que faites-vous comme métier pour rouler si vite ?
- Je suis écarteur d'anus.
- Quoi ?
- Écarteur d'anus !
- Et vous les écartez de combien ?
- Nous avons réussi à en écarter jusqu'à 1 mètre 90.
- Et que fait-on avec un trou du cul de 1 mètre 90 ?
- On les habille en bleu, on les met sur le bord de la route et on leur demande d'arrêter les gens.

pdf #63Divers

13 notes : 4.00 / 5

Un jour, alors qu'elle marchait dans la rue, une femme, une de ces cadres à qui tout réussit, est tragiquement heurtée par un autobus et meurt. Son âme arrive au Paradis où elle est accueillie par St Pierre.
- Bienvenue au Paradis ! Avant de vous installer ici, il semble que nous ayons un problème. Voyez-vous, c'est plutôt étonnant mais nous n'avons jamais eu de femme cadre jusqu'ici et nous ne sommes pas tout à fait surs de ce que nous devons faire de vous.
- Aucun problème, laissez-moi simplement entrer...
- J'aimerais bien mais j'ai des ordres qui viennent d'en haut. Ce que nous allons faire, c'est vous laisser passer un jour en Enfer et un jour au Paradis et ainsi vous pourrez choisir où vous voudrez passer l'éternité.
- Je pense que j'ai déjà fait mon choix... Je préfère rester au Paradis !
- Désolé, mais nous avons des règles...
Et ainsi St Pierre emmena la femme cadre dans un ascenseur qui descendit en Enfer.
Les portes s'ouvrirent et elle se retrouva sur le green d'un terrain de golf magnifique.
Un peu plus loin, il y avait le country club et devant, tous ses amis, bien habillés, qui l'acclamèrent. Ils s'approchèrent, l'embrassèrent et parlèrent du bon vieux temps.
Ils firent un excellent parcours de golf et, le soir, allèrent au country club ou ils dégustèrent un excellent steak et du homard. La femme rencontra le Diable qui est réellement quelqu'un de charmant et elle passa un merveilleux moment à raconter des histoires et à danser.
Elle passa un si bon moment qu'avant qu'elle ne s'en rende compte, il était temps de partir.
Tout le monde lui serra la main, lui fit au revoir et elle monta dans l'ascenseur.
Celui-ci retourna au Paradis et elle retrouva St Pierre.
- Maintenant, vous allez passer un jour au Paradis...
Elle passa ainsi les 24 heures suivantes allongée paresseusement sur les nuages à jouer de la harpe et à chanter des cantiques. Elle passa un si bon moment qu'avant qu'elle ne s'en rende compte les 24 heures étaient passées et St Pierre était de retour pour l'emmener.
- Alors, vous avez passé un jour en Enfer et un jour au Paradis. Maintenant, vous devez choisir pour l'éternité...
La femme réfléchit un instant et répondit :
- Et bien, je n'aurais jamais cru que je dirais ceci, le Paradis est vraiment bien mais je crois que je me plairai davantage en Enfer.
Alors, St Pierre l'escorta jusqu'a l'ascenseur et elle descendit à nouveau en Enfer.
Quand les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, elle se retrouva dans un paysage désolé plein d'immondices. Elle vit ses amis vêtus de haillons ramassant les saletés pour les mettre dans des sacs.
Le Diable vint vers elle et lui mit la main sur l'épaule.
La femme balbutia :
- Je ne comprends pas... Hier j'étais ici et il y avait un parcours de golf et un country club et nous avons mangé du homard et nous avons dansé et nous nous sommes bien amusés. Maintenant, c'est un désert d'immondices et tous mes amis semblent misérables.
Le Diable la regarda et sourit :
- Vous êtes cadre, vous devriez connaître le principe : "Hier nous vous recrutions. Aujourd'hui, vous faites partie du personnel"...

pdf #64Divers

6 notes : 2.00 / 5

Dans l'année 2007, Dieu visita Noé qui habitait pas très loin de la mer et lui dit :
- Une fois encore la terre est devenue invivable et surpeuplée et je dois agir. Construis une arche et rassemble un couple de chaque être vivant ainsi que quelques bons humains. Tu as six mois pour cela avant que je n'envoie la pluie pendant 40 jours et 40 nuits.
Six mois plus tard, Dieu regarda en bas et vit Noé balayant sa cour, mais aucune arche.
- Noé, gronda t-il, Je vais bientôt envoyer la pluie, où est l'arche?
- Pardonne moi mon Dieu, implora Noé mais les temps ont changé. J'avais besoin d'un permis de construire pour commencer l'arche. J'ai dû me battre plusieurs mois avec l'inspecteur au sujet du système d'alarme pour l'incendie. Pendant ce temps, mes voisins se sont réunis en association parce que je violais les règles du lotissement en construisant une arche dans ma cour et que j'allais obstruer la vue. On a dû aller devant le conciliateur pour avoir un accord.

Ensuite l'Urbanisme a déposé un mémoire sur les coûts des travaux nécessaires pour permettre à l'arche d'arriver jusqu'à la mer. J'ai eu beau leur dire que c'est la mer qui viendrait à l'arche, ils n'ont pas voulu me croire.

Obtenir du bois en quantité suffisante fut un autre problème. Les associations pour la protection de l'environnement se sont liguées pour empêcher la coupe des arbres, sous prétexte qu'on allait détruire l'habitat de plusieurs espèces animales et ainsi les mettre en danger.

J'ai tenté d'expliquer qu'au contraire tout ce bois servirait à sauver ces espèces, rien n'y a fait. Quand j'ai commencé à rassembler les couples de différentes espèces animales, la SPA, le WWF et Brigitte Bardot me sont tombés sur le dos. Sous prétexte que j'enfermais des animaux sauvages contre leur gré
dans des pièces trop petites pour eux. Qu'en agissant ainsi, je faisais acte de cruauté envers les animaux.

Ensuite, l'agence gouvernementale pour le développement durable a voulu lancer une étude sur l'impact pour l'environnement de ce fameux déluge.
Dans le même temps je me débattais avec l'Administration sur l'emploi de travailleurs bénévoles dans la construction de l'arche. Je les avais embauchés car les syndicats m'avaient interdit d'employer mes propres fils, disant que je ne devais faire appel qu'à des travailleurs hautement qualifiés dans la construction d'arche et si possible syndiqués.

Pour arranger les choses, le fisc a saisi tous mes avoirs, prétendant que je tentais de fuir le pays illégalement, suivi en cela par les douanes qui ont ajouté que je voulais faire passer les frontières à des espèces reconnues comme dangereuses.

Aussi pardonne moi, mon Dieu, mais je ne sais même pas si 10 ans auraient suffit à la construction de cette arche.

Aussitôt les nuages se dissipèrent et un magnifique arc en ciel apparut. Noé leva la tête et dit
- Tu ne vas pas détruire le monde ?
- Pas la peine, répondit Dieu, l' Administration s'en charge.

pdf #65Divers

11 notes : 4.00 / 5

C'est l'histoire d'un vieux monsieur qui est atteint de la maladie d'Alzheimer. Son fils qui l'aime beaucoup, mais qui n'en voit plus le bout décide avec l'accord du père de le placer dans une maison de retraite médicalisée.
Le jour de la séparation arrive. Le fils et son vieux se retrouvent dans le bureau de direction en compagnie de la directrice et d'une infirmière.
Pendant que le fils signe les papiers, le vieux se penche tout doucement sur son côté vers la droite. L'infirmière bondit et vient arrêter le mouvement in extremis.
Quelques minutes plus tard, le vieux recommence à pencher, cette fois-ci vers la gauche. Encore une fois, l'infirmière bondit et parvient à arrêter la bascule du vieux dans sa course.
Quelques temps plus tard, le corps du vieux se met à pencher en avant: Cette fois-ci, l'infirmière l'attache carrément à sa chaise.
À ce moment, le fils a fini de remplir les papiers. Il se lève et demande à son père:
- Alors papa, tu vas te plaire ici?
Et le vieux répond:
- Ouais, je pense. Mais à mon avis, ils me laisseront jamais péter tranquillement.