Liste des 615 blagues sur le thème "Divers"
#121Divers
9 notes : 3.00 / 5Un homme prend chaque jour trois tasses de café dans un bistrot. Un jour, le cafetier, curieux, l'interroge :
- Pourquoi prenez-vous trois tasses chaque jour ?
Et l'homme explique :
- J'en prends une pour moi. Les deux autres sont pour mes amis, dont l'un est à l'hôpital et l'autre est à l'étranger.
Après quelques jours, le cafetier remarque que l'homme ne prend plus que deux tasses de café. Il pense qu'il a dû arriver quelque chose à l'un de ses amis et lui demande ce qui s'est passé.
Et l'homme répond :
- Rien du tout. C'est moi qui ai arrêté de prendre le café.
- Pourquoi prenez-vous trois tasses chaque jour ?
Et l'homme explique :
- J'en prends une pour moi. Les deux autres sont pour mes amis, dont l'un est à l'hôpital et l'autre est à l'étranger.
Après quelques jours, le cafetier remarque que l'homme ne prend plus que deux tasses de café. Il pense qu'il a dû arriver quelque chose à l'un de ses amis et lui demande ce qui s'est passé.
Et l'homme répond :
- Rien du tout. C'est moi qui ai arrêté de prendre le café.
#122Divers
10 notes : 3.00 / 5Un homme vient de voler un coq et commence à le plumer quand un gendarme arrive.
Paniqué, le voleur jette le coq à l'eau :
- Mais vous avez volé un coq ! Que fait ce tas de plumes à vos pieds ?
- Je n'ai rien fait de mal, Monsieur. Ce coq voulait aller se baigner et il m'a demandé de lui garder ses affaires, c'est tout !
Paniqué, le voleur jette le coq à l'eau :
- Mais vous avez volé un coq ! Que fait ce tas de plumes à vos pieds ?
- Je n'ai rien fait de mal, Monsieur. Ce coq voulait aller se baigner et il m'a demandé de lui garder ses affaires, c'est tout !
#123Divers
9 notes : 3.00 / 5Deux garçons jouaient au football au parc Borelly, à Marseille, quand l'un d'eux fut attaqué par un pitbull. L'autre eut le réflexe d'arracher une planche de la clôture proche et de l'abattre sur le chien, lui brisant la nuque sur le coup.
Un journaliste qui passait par-là se précipita pour interviewer le garçon. Il commence par note : « Un jeune supporter de l'OM sauve son ami d'une mort sanglante ».
Le garçon remarque alors :
- Mais, je suis pas un supporter de l'OM !
- Mais tu es pour quelle équipe alors ?
- Je suis pour le PSG !
Le reporter barre alors la ligne déjà écrite et recommence son article : « Un jeune voyou assassine froidement le compagnon à quatre pattes d'une honnête famille marseillaise ».
Un journaliste qui passait par-là se précipita pour interviewer le garçon. Il commence par note : « Un jeune supporter de l'OM sauve son ami d'une mort sanglante ».
Le garçon remarque alors :
- Mais, je suis pas un supporter de l'OM !
- Mais tu es pour quelle équipe alors ?
- Je suis pour le PSG !
Le reporter barre alors la ligne déjà écrite et recommence son article : « Un jeune voyou assassine froidement le compagnon à quatre pattes d'une honnête famille marseillaise ».
#124Divers
10 notes : 3.00 / 5Une dame va voir une voyante. Lorsqu'elle frappe à la porte, la voyante répond :
- Qui est là ?
Et la dame s'en va très déçue.
- Qui est là ?
Et la dame s'en va très déçue.
#125Divers
11 notes : 2.00 / 5Le gouvernement veut savoir lequel des trois services de police - le GIGN, la DST ou la Police nationale - est le plus efficace pour attraper les criminels. Un bois est donc affecté à chaque service et un lapin est lâché dans chaque bois. Charge à chaque service de retrouver le sien.
Le GIGN encercle son bois, fait une sommation rapide, mitraille tout, met le feu au bois, élimine toute trace de vie. Très fiers et sans s'excuser (alors qu'une certaine presse prétend avoir les photos du lapin les pattes en l'air), les ninjas rapportent le cadavre carbonisé du lapin et déclarent :
- Mission accomplie.
Les espions de la DST placent des micros, engagent des lapines bien roulées, soudoient des renards, truffent des carottes, font de l'intox dans les clairières, interrogent discrètement les plantes et les cailloux. Après un mois d'enquête, ils concluent :
- L'affaire est close : ce lapin n'a jamais existé.
La Police pénètre dans son bois avec le panier à salade, fait une rafle dans une clairière et revient le lendemain matin avec un sanglier bien amoché qui ne cesse de répéter :
- OK, ça va, je suis un lapin, je suis un lapin...
Le GIGN encercle son bois, fait une sommation rapide, mitraille tout, met le feu au bois, élimine toute trace de vie. Très fiers et sans s'excuser (alors qu'une certaine presse prétend avoir les photos du lapin les pattes en l'air), les ninjas rapportent le cadavre carbonisé du lapin et déclarent :
- Mission accomplie.
Les espions de la DST placent des micros, engagent des lapines bien roulées, soudoient des renards, truffent des carottes, font de l'intox dans les clairières, interrogent discrètement les plantes et les cailloux. Après un mois d'enquête, ils concluent :
- L'affaire est close : ce lapin n'a jamais existé.
La Police pénètre dans son bois avec le panier à salade, fait une rafle dans une clairière et revient le lendemain matin avec un sanglier bien amoché qui ne cesse de répéter :
- OK, ça va, je suis un lapin, je suis un lapin...